Ce centre de villégiature dans les arbres à Bali est la destination tropicale de rêve dont vous rêviez.

Si vous êtes à la recherche d’une escapade tropicale au sommet d’un arbre, vous pouvez envisager de vous rendre à la station Lost Lindenburg à Bali, en Indonésie. Conçu par les architectes locaux Alexis Dornier et Studio Jencquel, le Lost Lindenburg resort est une superbe propriété au bord de l’eau dans la jungle dense et luxuriante de Jembrana. Le complexe comprend huit chambres surélevées pour créer une « expérience inhabituelle et rêveuse » pour les clients.

Concepteur : Alexis Dornier et Studio Jencquel

Les chambres du complexe Lost Lindenberg, qui ressemblent à des cabanes dans les arbres, sont reliées entre elles par des passerelles surélevées, créant ainsi un espace au même niveau que la canopée des arbres. « Perchées comme des géants au milieu des cocotiers et dépassant de la canopée du paysage tropical, quatre tours émergent de la plage de sable noir en contrebas », expliquent Alexis Dornier et Studio Jencquel. « Nous voulions donner l’impression de marcher dans un autre monde, de se reposer sur un bateau flottant, surélevé et en sécurité, avec la jungle sauvage à notre porte. Regroupées les unes à côté des autres, les tours forment un village flottant dans les arbres ».

En entrant dans le complexe par une porte dans le mur, vous serez agréablement surpris par l’installation de néons vibrants de l’artiste allemand Tobias Rehberger, qui tente de contraster les espaces par ailleurs sereins et paisibles qui l’entourent. Des espaces de réception formels ont été intégrés pour « briser la barrière entre les hôtes et les invités ». Les quatre tours du complexe comprennent deux chambres reliées par une terrasse commune en béton. Les passerelles surélevées susmentionnées incitent les hôtes à passer du temps les uns avec les autres. Les espaces du niveau inférieur sont revêtus de lattes de bois et dissimulés. Les lattes contrôlent les vues et la lumière.

Au niveau supérieur, les pièces occupent une forme pyramidale grâce à des toits uniques peu profonds. Cette forme procure de l’ombre à l’espace situé en dessous tout en offrant une vue imprenable sur le paysage verdoyant. « Habillées de bois de la tête aux pieds et peintes aux couleurs de la forêt, ces structures colossales s’intègrent parfaitement à leur environnement », expliquent les architectes. « Seule une ligne de toit déchiquetée, à peine perceptible de loin par les pêcheurs en mer, est cachée parmi les arbres et suffisamment haute pour surplomber l’océan Indien », concluent-ils.

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